
Avril
J'ai crié. " Avril ! "
À travers la pluie,
Le soleil a ri.
J'ai crié. " Avril ! "
Et des hirondelles
Ont bleui le ciel.
J'ai crié. " Avril ! "
Et le vert des prés
S'est tout étoilé.
Maurice CARÊME
[La lanterne magique]

Printemps
Victor Hugo
Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire !
Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire,
Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis !
Les peupliers, au bord des fleuves endormis,
Se courbent mollement comme de grandes palmes ;
L’oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ;
Il semble que tout rit, et que les arbres verts
Sont joyeux d’être ensemble et se disent des vers.
Le jour naît couronné d’une aube fraîche et tendre ;
Le soir est plein d’amour ; la nuit, on croit entendre,
A travers l’ombre immense et sous le ciel béni,
Quelque chose d’heureux chanter dans l’infini.
Victor Hugo, Toute la lyre

VOUS NE POUVEZ SAVOIR A QUEL POINT VOUS M'AVEZ MANQUE ! ! !




SONNET
L'azur n'est plus égal comme un rideau sans pli.
La feuille, à tout moment, tressaille, vole et tombe ;
Au bois, dans les sentiers où le taillis surplombe,
Les taches de soleil, plus larges, ont pâli.
Mais l'œuvre de la sève est partout accompli :
La grappe autour du cep se colore et se bombe,
Dans le verger la branche au poids des fruits succombe,
Et l'été meurt, content de son devoir rempli.

Dans l'été de ta vie enrichis-en l'automne ;
Ô mortel, sois docile à l'exemple que donne,
Depuis des milliers d'ans, la terre au genre humain ;
Vois : le front, lisse hier, n'est déjà plus sans rides,
Et les cheveux épais seront rares demain :
Fuis la honte et l'horreur de vieillir les mains vides.
René-François Sully Prudhomme.



images : internet





SONNET
L'azur n'est plus égal comme un rideau sans pli.
La feuille, à tout moment, tressaille, vole et tombe ;
Au bois, dans les sentiers où le taillis surplombe,
Les taches de soleil, plus larges, ont pâli.
Mais l'œuvre de la sève est partout accompli :
La grappe autour du cep se colore et se bombe,
Dans le verger la branche au poids des fruits succombe,
Et l'été meurt, content de son devoir rempli.

Dans l'été de ta vie enrichis-en l'automne ;
Ô mortel, sois docile à l'exemple que donne,
Depuis des milliers d'ans, la terre au genre humain ;
Vois : le front, lisse hier, n'est déjà plus sans rides,
Et les cheveux épais seront rares demain :
Fuis la honte et l'horreur de vieillir les mains vides.
René-François Sully Prudhomme.



images : internet





SONNET
L'azur n'est plus égal comme un rideau sans pli.
La feuille, à tout moment, tressaille, vole et tombe ;
Au bois, dans les sentiers où le taillis surplombe,
Les taches de soleil, plus larges, ont pâli.
Mais l'œuvre de la sève est partout accompli :
La grappe autour du cep se colore et se bombe,
Dans le verger la branche au poids des fruits succombe,
Et l'été meurt, content de son devoir rempli.

Dans l'été de ta vie enrichis-en l'automne ;
Ô mortel, sois docile à l'exemple que donne,
Depuis des milliers d'ans, la terre au genre humain ;
Vois : le front, lisse hier, n'est déjà plus sans rides,
Et les cheveux épais seront rares demain :
Fuis la honte et l'horreur de vieillir les mains vides.
René-François Sully Prudhomme.



images : internet



A TOUTE LES MAMANS DANS LE MONDE ! ! !

A ma mère
Ô toi, dont les soins prévoyants,
Dans les sentiers de cette vie
Dirigent mes pas nonchalants,
Ma mère, à toi je me confie.
Des écueils d'un monde trompeur
Écarte ma faible nacelle.
Je veux devoir tout mon bonheur
A la tendresse maternelle.



MAMAN n'est plus mais toujours dans mon coeur elle EST UN TRESOR ! ! !

Et voici mon autre voeu :
http://a-l-ombre-du-figuier.over-blog.com/I
IMAGES : INTERNET

QUE CE MOIS DE MAI ILLUMINE TOUS LES MOMENTS DE PRINTEMPS ,
ET QUE LE BONHEUR INONDE VOS YEUX ! ! !


Bannières de mai
Arthur Rimbaud
Je veux bien que les saisons m’usent.
A toi, Nature, je me rends ;
Et ma faim et toute ma soif.
Et, s’il te plaît, nourris, abreuve.
Rien de rien ne m’illusionne ;
C’est rire aux parents, qu’au soleil,
Mais moi je ne veux rire à rien ;
Et libre soit cette infortune.

PRINTEMPS
Le chaume et la mousse
Verdissent les toits ;
La colombe y glousse,
L'hirondelle y boit ;
Le bras d'un platane
Et le lierre épais
Couvrent la cabane




En lisant mon courriel , j'ai découvert un message très émouvant , envoyé par mon amie Annick et le texte était intitulé : " le tablier de grantd-mère "

je vous le transmet en l'illustrant à ma façon . . .




Le principal usage du tablier de grand-mère était
de protéger la robe en dessous, mais, en plus de cela,
il servait de gant pour retirer une poêle brûlante du fourneau.
Il était merveilleux pour essuyer les larmes des enfants

et, à certaines occasions, pour nettoyer les frimousses sales
Depuis le poulailler, le tablier servait à transporter les oeufs,
à réanimer les poussins,
et parfois à ramasser les oeufs fêlés
qui finissaient dans le fourneau.

Quand les visiteurs arrivaient,
le tablier servait d'abri à des enfants timides.

Et, quand le temps était frais, grand-mère s'en emmitouflait les bras.
Ce bon vieux tablier faisait office de soufflet agité au-dessus du feu de bois.
C'est lui qui transbahutait les pommes de terre
et le bois sec jusque dans la cuisine.
Depuis le potager,
il servait de panier pour de nombreux légumes.
Après que les petits pois aient été récoltés,
venait le tour des choux.
En fin de saison, il était utilisé
pour ramasser les pommes tombées de l'arbre.
Quand les visiteurs arrivaient de façon impromptue,
c'était surprenant de voir avec quelle rapidité
ce tablier pouvait faire de la poussière.

À l'heure de servir le repas,
grand-mère allait sur le perron agiter son tablier,
et les hommes aux champs
savaient aussitôt qu'ils devaient passer à table.
Grand-mère l'utilisait aussi
pour poser la tarte aux pommes, à peine sortie du four,
sur le rebord de la fenêtre pour qu'elle refroidisse.

De nos jours, sa petite fille
la pose dans le micro-ondes pour la décongeler.
Il faudra de bien longues années
avant que quelqu'un n'invente quelque objet
qui puisse remplacer
ce bon vieux tablier qui servait à tant de choses.
Danger ? 
On deviendrait bien fou aujourd’hui rien que de songer à la quantité de microbes qui pouvaient s’accumuler sur le tablier en une seule journée ! 
En réalité , 
a seule chose que les enfants de l’époque aient attrapée au contact du tablier de maman ou de grand-maman,
c’est de l’amour !



images internet
Je reviens avec beaucoup d'affection et de tendresse envers vous tous mes AMIS !





Chèrs amis ,
je sais que je me répète mais jamais ,au grand jamais je ne vous oublie , c'est JUSTE QUE LA VIE NOUS JOUE DES TOURS ! 
j'espère vous retrouver tous COMME UN PRINTEMPS !
je vous envoie DES BRASSEES DE TENDRESSE



CHERS AMIS
mille et un details me font penser à vous , mais
les alèas de la vie font que malgré tous nos désirs ,
nous ne pouvons faire ce que l'on voudrait ! et ,surtout quand
la santé s'emmêle . . . mon souhait , c'était qu'il n'y aurait , aucune coupure mais hélàs !

Mais pour moi , mon Bonheur est chacun de
vous tous à sa manière



QUE CE " AID-EL-FITR " COURONNE VOTRE PIETE PAR LA REALISATION DE TOUS VOS ESPOIRS ! ET QUE TOUS LES JOURS SOIENT UN AID POUR CHAQUE ENFANT DE PAR LE MONDE ! ! !







JE DEDIE CE BOUQUET ET CE POEME A TOUTES LES MAMANS ,ET MEME A CELLES QUI N'ONT
PAS D'ENFANTS MAIS QUI LE SONT QUAND MEME PAR LEUR BONTE ET LA BEAUTE DE LEUR AME ! ! !
MAMAN , je sais que tu es partie mais en moi TU ES LA TOUJOURS , le destin nous a séparées très tôt . . . c'était dur , et même encore ! ! !

« J'ai de toi une image
Qui ne vit qu'en mon cœur.
Là, tes traits sont si purs
Que tu n'as aucun âge.
Là, tu peux me parler
Sans remuer les lèvres,
Tu peux me regarder
Sans ouvrir les paupières.
Et lorsque le malheur
M'attend sur le chemin,
Je le sais par ton cœur
Qui bat contre le mien. »
Maurice Carême (1899 - 1976)



ces abscences forcées m'ont quelque peu éloignée de vous tous !
mais croyez-moi ,malgré toute ma volonté !!!
chacune,à sa façon , me manque tout le temps ...
... Je me suis connectée aujourd'hui et je me sens un peu perdue !
j'espère avoir assez de force pour écrire à tous ...
affectueusement 
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CHERS AMIS , si je le pouvais , je ne serais jamais autant absente mais la vie au quotidien est souvent plus forte que la volonté de chacun !

JE TENAIS AUSSI A VOUS ADRESSER MES VOEUX LES PLUS SINCERES !

Et à l'instar d'une personne de mes amis je vous dédie ce message qu'elle m'avait envoyé à ll'occasion de la nouvelle année , JE L'ENVOIE A TOUS !

" C'est avec les mots d'un poète que je viens souhaiter à chacun de belles fêtes. Que notre cœur soit vraiment léger en 2013 pour nous émerveiller comme un enfant, regarder le quotidien comme un vieux sage et construire demain comme des amoureux. " ( V . paul )


QUE CHAQUE ENFEANT GARDE SON RIRE , PARTOUT DANSLE MONDE


